samedi 31 juillet 2010

Tunis la ville

lem7ataAttendant le train a la gare de Tunis, les écouteurs de mon iPod greffé dans mes oreilles m'épargnant les sons des rires jaunes des grandes personnes mais malheureusement pas leurs expressions de visage et les pleurs des petits qui ne comprennent toujours pas pourquoi maman aime prendre le train pour tourner en rond avec beaucoup de personne dans une grande maison pleine de vitrines. Et pourquoi elle donnera de l'argent a d'autre grande personne pour un grand sac décorée ? alors qu'elle refuse d’acheter le robot “made in china” perdu au milieu des bouquin de religions qui se font une place tant bien que mal parmis les magazines de beauté d'un marchant de journaux improvisé! Mais la seules réponse qu'aura le petit c'est une tapette sur son petit derrière :)
J'aime pas Tunis, (tout mon respect a tout les tunisois que j'adore "rajjela") j'aime pas l'air qu'on y respire la bas, il manque un peu d’iode a mon goût, et puis il y a cette puanteur peut être que c'est le lac qui pu toujours non pas a cause de son ancienne odeur fétide mais a cause des petit bourgeois qui feront la pluie et le beau temps de Tunis dans 10 ans.
Ce que j’aime dans Tunis c’est l'observé bouger, c’est regardé tout ces gens si pressé, si serré dans leurs costume a deux pieces, le regard un peu perdu. Regardant leurs montres, sans savoir lire l’heure ils espèrent avoir du temps. Pressé toujours sur leurs garde, on leurs a dit étant petit que Tunis est une grande ville, pleine de danger et qu’il fallait rentré tôt a la maison, même si le petit nid d’amour ressemble de plus en plus a un hotel où les gens se croisent sans se parler.

Seul

Savoir être seul est une grande aventure de nos jours, une résistance à la pression sociale. C’est tout aussi audacieux et important que de former un couple

je cite André Téchiné 

A mon avis se retrouver seul c'est se retrouvé avec sois même avec une âme qui se nourris et grandis dans un corps qui ne préviendra jamais a la satisfaire.
Se retrouver seul c'est demander a son corps l'impossible c'est de le rendre coupable d'un crime qui n'en n'est pas un, de le rendre pour responsable de ces malheurs alors qu'il est lui même malheureux,
triste car il sait qu'il ne pourras jamais satisfaire une telle exigence et une telle idéologie du parfait. Alors quand l'âme grandi de plus en plus, elle ne trouve guerre de la place dans son faux jumeau elle veut sortir de cette prison si habituelle qu'elle devin si étrange et c'est la que l'autrui apparaît, un anonyme, une star, un parent, une personne qu'on idéalise. Et notre âme trouve enfin une maison a louer, un endroit où aller, une sorte de résidence secondaires où elle pourras se reposer, c'est la bonne compagnie tant attendue qui nous fera sortir de notre solitude. Accompagné on se sens plus seul on pense plus a l'affront des deux parties qu'on croyait si solidaire si complémentaire. Et on s'attache de plus en plus. Le temps passe et la bonne compagnie devient si intrusive si encombrante qu'on a le mal du pays, la nostalgie des moments de solitude, des moments de conflits, même si on fait mine de ne pas s'en souvenir,de ne pas être nostalgique, ça persiste encore alors on va chercher le locataire pour l'assurée qu'on reviendra, qu'on fera que vérifier les meubles pour nous s'assurer que tout va bien dans notre maison, mais en fait on va chercher notre petit moment des solitude :)

alors enfin de compte est ce que la solitude est un besoin ou un fait incontrôlable qui depond de l'autrui? Pourquoi on a si peur parfois de se retrouvé seul ? Et pourquoi on aurais besoin de se retrouvé seul ?

Je pourrais jamais bien répondre a des questions pareilles, je n'est ni les requis philosophique qu'il faudrait ni l'envie de connaitre les les bonnes réponses.